« Numéro spécial suite aux attentats du mois de janvier à Paris. »
ÉDITO :
Et maintenant…
Par Jacques CROCHET, Président de l’Institut Kervégan
Ces journées noires de Janvier 2015 nous auront marqués à jamais. Nous avons été violemment agressés dans notre vision du monde, et ébranlés dans nos convictions et nos valeurs… [La suite]
Les articles :
Cela n’excuse rien mais nous ne sommes pas innocents
Par Thierry PATRICE
Dès le soir du 7 janvier j’ai refusé de participer à la collectivisation de l’émotion, non par absence d’empathie, certes non, mais parce que je ne suis pas et que nous ne sommes pas innocents… [La suite]
Je suis Bernard
Par Maurice BERTHIAU
Suis-je Charlie ? Sûrement mais le jour de la manifestation, j’arborais un badge « Je suis Ahmed » avec la même typographie sur fond noir. L’image de ce jeune policier arabe, abattu comme un chien alors qu’il était en service, est, pour moi, républicain convaincu, plus forte encore que celle des dessinateurs… [La suite]
Une laïcité spirituelle
Par Jean-Jacques DERRIEN
Les actes de terrorisme des 7 et 9 Janvier 2015 vont marquer de façon indélébile l’histoire de notre pays. Ils nous interpellent au plus profond de notre ADN républicain au travers de la liberté d’expression et de la laïcité… [La suite]
Lever la plume face à l’épée
Par Landry LUCAS
Après les attentats, chacun y va de son expertise pour présenter sa solution. Or, peut-on résumer la complexité de la situation à un échec supposé de l’école ? Avant de proposer des solutions, un constat doit apparaître : l’impossibilité d’émettre une réponse simple et unique… [La suite]
Les crayons, pas les kalachs
Par Dominik ABBAS (13 ans)
En tuant ces 12 personnes, ils n’ont pas « juste » tué 12 personnes. Ils ont, au nom d’un idéal islamique détourné de ses fondements, tenté de tuer la liberté d’expression.
Kalachnikovs contre crayons, le duel a eu lieu…[la suite]
Lecture :
Prendre du recul avec « Les identités meurtrières » d’Amin Maalouf
Par Gaël BERNICOT
Quand l’horreur survient, qu’elle ébranle nos certitudes et nous plonge dans le doute, il est pénible, le premier choc passé, de supporter la logorrhée ambiante de « certitudes » et d’« évidences »… [La suite]